Et d’abord les chanteurs, tour à tour solistes et choristes. Confondantes harmoniques dont Alice Kamenezky (la première fée et le Printemps) est, elle non plus, loin d’être dépourvue. On regrettera que l’excellent Peter Harvey soit.. sous-employé, ce que compense l’autre baryton, Ashley Riches, hilarant ivrogue. Cette idée servira de fil conducteur à l’ensemble du spectacle, enlevé au rythme d’un gag à la minute, d’un goût souvent douteux…Beaucoup ont jugé l’ensemble vulgaire et décadent, mais on ne peut nier la théâtralité puissante et l’invention de ce spectacle, même si nous nous situons aux antipodes d’une certaine tradition baroque, avec ses perruques, ses chapeaux à plumes et ses souliers à haut talon. Pourquoi Jean de Pange refuse de prendre The Fairy Queen comme tel, un opéra fantaisiste dénué d’action ? », s’est extasiée cette mamie comblée.” (Le Télégramme)”, Montréal – Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours – Festival Montréal Baroque – 25 juin 2009 – Bande Montréal Baroque, Repercussion Theatre, Marie-Nathalie Lacoursière – dir. Je l’ai découvert en Hyllus dans un live d’Amsterdam et déjà cette façon de trop ouvrir les sons m’insupportait, je n’entendais qu’un benêt chantant ; à le voir en vrai, je trouve que c’est le matériau vocal qui est insuffisant : voix de ténor aigu irrégulière, absence de graves et de couleurs, problèmes de soutien (nb : c’est peut-être aussi du au manque de répétitions, comme pour les autres chanteurs). Quelle est la part de rêve et de réalité dans cette oeuvre où la lune est omniprésente ? Ladaptation de la pièce « Le Songe dune nuit dété » de Shakespeare (1595), sans doute par Elkanah Settle, suit lintrigue dassez loin. Le public s’est laissé bercer par les voix des solistes et des choristes, qui ont mené l’intrigue dans un tourbillon de magie, d’allégresse et d’extravagance, tout au long du spectacle mis en scène d’une manière très actuelle par la Brestoise Vivianne Marc. Et l’embarquement attendu pour l’Arcadie s’avère illusoire, avant tout prétexte à un divertissement certes bigarré de bateleurs et montreurs de foire, avec Hercule bonasse et hyper-expressif (rôle tenu par l’étonnant Boldo Janchivdorj, formé au cirque en Mongolie), acrobates facétieux et jongleurs minimalistes, à défaut des bonnes manières du passé. Titania demande de la musique pour attendre le lever du jour. The Fairy Queen (La Reine des fées) est un semi-opéra composé par Henry Purcell en 1692 (première représentation le 2 mai 1692 au Dorset Garden Theatre à Londres [1]).Le livret est une adaptation anonyme (un auteur possible serait Thomas Betterton [2]) de la célèbre pièce de William Shakespeare Le Songe d'une nuit d'été.. La pièce est partagée en 5 actes. Et dès le début du III, « If love’s a sweet passion » transformé en déclaration d’amours interdites, nous fait changer d’avis. Rien de personnel dans ce spectacle, de touchant donc, beaucoup de talent et de travail mais pas de génie. Sa voix, qui porte magnifiquement, n’est d’ailleurs presque qu’en magnifiques harmoniques, haute, dégagée, souple et ouverte, et d’une étonnante suavité. Pour une œuvre comme Fairy Queen, qui ne peut réellement s’animer qu’à la scène, il aurait fallu une équipe autrement plus concernée, sinon le concert risque fort de ressembler à un long tunnel où les airs s’enchaînent aux airs. Mais surtout elle nous gratifia d’un superbe air de la Nuit dans l’acte II avec un timbre très pur, clair. Succession de scènes poétiques et oniriques, enchaînements d’airs, de choeurs et d’intermèdes instrumentaux. Est-ce la raison pour laquelle ce concert ne convainc qu’à moitié ? Purcell nous offre un genre de comédie musicale avec des passages véritablement enchanteurs, notamment : la scène exubérante du poète ivre à l’acte I ; les incroyables imitations de chants d’oiseaux dans le bocage ; l’évocation de la Nuit, du Mystère, du Secret, du Sommeil et de la danse dans la suite de la Nuit à l’acte II ; la folie de Tatiana amoureuse de l’âne et le fameux air – “If love’s a sweet passion” (Si l’amour est une douce passion) à l’acte III ; la somptueuse musique de cérémonie avec trompettes et timbales à l’ouverture de l’acte IV ; l’air de Junon, déesse de l’hymen “Thrice happy lovers” (Amoureux trois fois heureux) et l’éblouissante suite de solos et de choeurs pour chinois et chinoises à l’acte V. (Festival de Beaune 2002), Livret (en anglais) Purcell/The Fairy Queen Les Arts Florissants. Opéra de Rennes – 2, 4, 8, 10 février 2008 – Vannes – Théâtre Anne de Bretagne – 14 février 2008 – Lorient – Théâtre Anne de Bretagne – 15 février 2008 – Choeur de l’Opéra de Rennes – Ensemble Les Caractères – dir. Reste un trésor, trésor national : ces acteurs ! The Fairy Queen Watch Purcell's The Fairy Queen online for free from Sunday 23 August. Mais en aucun cas le pardonner, leur prestation de ce soir fut vraiment lamentable ; et si l’on ajoute les options retenues que je critique depuis longtemps (jouer Purcell sur la pointe des pieds, à l’anglaise, à l’opposé de toute la force, le dramatisme et les couleurs qu’y apportent Harnoncourt ou Niquet pour ne citer qu’eux) et que Christie abandonne quand il dirige d’autres ensembles (!! A l’image de cette chorégraphie ahurissante où des danseurs, costumés en lapins de peluche, exécutent les positions du Kâmasûtra devant un public hilare. – une compagnie d’artisans, acteurs ridicules et comiques, rêvant d’être Pyramé et Thisbé qui moururent par amour. Listen to Purcell: The Fairy Queen by The Scholars Baroque Ensemble on Apple Music. Der Text wird von 16 Solisten und einem vierstimmigen Chor gesungen, der meistens den musikalischen Inhalt der Arien wiederholt.
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